Mise en garde à
l’égard des déclarations
prospectives
De temps à autre, la Banque fait des
déclarations prospectives, écrites ou verbales, y
compris dans le présent rapport annuel, d’autres
documents déposés auprès des organismes
de réglementation canadiens ou de la Securities and
Exchange Commission (SEC) des États-Unis et
d’autres communications. Toutes ces déclarations
sont faites conformément aux dispositions
d’exonération de la Private Securities
Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis. Les
déclarations prospectives comprennent, entre autres, des
déclarations concernant les objectifs de la Banque et ses
stratégies pour les atteindre, les perspectives pour les
unités fonctionnelles de la Banque, ainsi que la
performance financière prévue de la Banque. Les
déclarations prospectives se reconnaissent habituellement
à l’emploi de termes comme
«croire», «prévoir»,
«pouvoir» et les verbes au futur et au
conditionnel. Les risques et incertitudes associés
à ces déclarations sont de nature
générale ou spécifique et peuvent faire
en sorte que les résultats réels
diffèrent considérablement de ceux
avancés dans les déclarations prospectives.
Certains des facteurs qui pourraient entraîner de tels
écarts incluent les risques, notamment, de
crédit, de marché,
d’illiquidité, de taux
d’intérêt, d’exploitation et
autres présentés à partir de la page 33
du présent rapport annuel et dans le rapport de gestion du
présent rapport et d’autres documents
déposés auprès des organismes de
réglementation du Canada et auprès de la SEC; les
conditions économiques et commerciales
générales au Canada, aux États-Unis et
dans d’autres pays où la Banque exerce ses
activités; l’incidence des modifications
apportées aux politiques monétaires, le
degré de concurrence sur les marchés où
la Banque exerce ses activités, de la part des concurrents
établis comme des nouveaux venus; les modifications aux
lois ou à la réglementation; la
précision et l’exactitude de
l’information financière que la Banque recueille
auprès des clients et des contreparties; la conception de
nouveaux produits et services et le moment où ils sont
lancés sur les marchés; la capacité de
la Banque à réaliser et à
intégrer les acquisitions, la capacité de la
Banque à recruter et à conserver des dirigeants
clés; la fiabilité de tiers à fournir
les infrastructures nécessaires aux activités de
la Banque; l’évolution de la technologie; les
modifications des lois fiscales; les procédures
judiciaires ou réglementaires imprévues; les
changements imprévus dans les habitudes de consommation et
d’épargne des consommateurs;
l’incidence possible sur les activités de la
Banque de conflits internationaux, du terrorisme ou de catastrophes
naturelles comme des séismes; la capacité de la
direction à prévoir et à gérer
les risques associés à ces facteurs et à
réaliser les stratégies de la Banque dans un
contexte de gestion rigoureuse des risques. Se reporter à
la section débutant à la page 32 du
présent rapport à l’égard de
l’incidence que pourraient avoir sur les
résultats réels certains facteurs clés.
Cette liste et la présentation des facteurs
débutant à la page 32 ne constituent pas une
liste exhaustive de tous les facteurs possibles. D’autres
facteurs peuvent nuire aux résultats de la Banque. Le
lecteur doit examiner ces facteurs et autres attentivement avant de
prendre des décisions à
l’égard de la Banque et ne doit pas se fier
indûment aux déclarations prospectives de la
Banque. La Banque n’effectuera pas de mise à
jour des déclarations prospectives, écrites ou
verbales, qui peuvent être faites de temps à
autre par nous ou en notre nom.