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Présentation de l’information financière de la BanqueLa Banque dresse ses états financiers conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada, qui sont présentés aux pages 54 à 90 du présent rapport annuel. La Banque désigne les résultats dressés selon les PCGR comme étant les résultats «comme présentés». La Banque utilise également les résultats «d’exploitation selon la comptabilité de caisse» pour évaluer chacun de ses secteurs d’activité et pour comparer sa performance globale aux objectifs. Les résultats d’exploitation calculés selon la comptabilité de caisse comprennent les résultats présentés selon les PCGR, et excluent les éléments exceptionnels et l’imputation hors caisse liée à l’amortissement des actifs incorporels et, avant 2002, l’amortissement hors caisse de l’écart d’acquisition. Il n’y a pas eu d’éléments exceptionnels au cours de l’exercice 2003. Le seul élément exceptionnel exclu pour l’exercice 2002 a été le gain à la vente de l’entreprise de tenue de comptes et de garde de fonds communs de placement de la Banque constaté respectivement au premier et au troisième trimestre de 2002. La Banque considère que les éléments exceptionnels sont des opérations ne faisant pas partie de ses activités d’exploitation normales et n’étant donc pas indicatives des tendances. L’imputation hors caisse de la Banque liée à l’amortissement des actifs incorporels identifiés a trait en grande partie à l’acquisition de Canada Trust à l’exercice 2000. La Banque exclut l’amortissement des actifs incorporels parce qu’il s’agit d’une imputation hors caisse et que cette approche assure un traitement comparable entre les périodes et un traitement comparable à celui de l’écart d’acquisition. Par conséquent, la Banque est d’avis que les résultats d’exploitation selon la comptabilité de caisse fournissent au lecteur un aperçu de ses résultats permettant une comparaison uniforme d’une période à l’autre. La dépréciation de l’écart d’acquisition constatée par la Banque au cours de l’exercice 2003 relativement à l’unité internationale de son entreprise de Gestion de patrimoine et à son secteur américain de négociation d’options sur actions n’a pas été considérée comme un élément exceptionnel à exclure des résultats d’exploitation selon la comptabilité de caisse. Les coûts de restructuration constatés par la Banque au cours de l’exercice 2003, relativement à l’unité internationale de son entreprise de Gestion de patrimoine et à son secteur américain de négociation d’options sur actions, n’ont pas été considérés comme des éléments exceptionnels étant donné qu’ils ont été engagés dans le cadre de la rationalisation des entreprises existantes. La réduction de la provision globale générale au cours de l’exercice 2003 n’a pas été considérée comme un élément exceptionnel étant donné que la Banque la considère comme un événement potentiellement récurrent. Par contre, il est également possible que, dans l’avenir, il faille accroître la provision globale générale. Comme expliqué, les résultats d’exploitation selon la comptabilité de caisse diffèrent des résultats présentés selon les PCGR. L’expression «résultats d’exploitation selon la comptabilité de caisse» n’est pas définie dans les PCGR et, par conséquent, elle pourrait avoir une signification différente d’une terminologie similaire utilisée par d’autres émetteurs. Le tableau ci-dessous présente un rapprochement entre les résultats d’exploitation selon la comp-tabilité de caisse et les résultats comme présentés de la Banque. Rapprochement des résultats d’exploitation selon la comptabilité de caisse et des résultats comme présentés
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