Transcription
ANNONCEUSE: Gestion de Placements TD vous propose le balado de la semaine. À titre de rappel, ce balado ne peut pas être distribué sans le consentement écri préalable de Gestion de Placements TD.
INGRID MACINTOSH: C’est à nouveau la période des REER. Et les investisseurs reçoivent une foule d’excellents conseils, qu’il s’agisse d’ouvrir un régime d’épargne-retraite, un plan d’épargne automatisée ou de commencer à épargne dès aujourd’hui. Ce sont tous d’excellents conseils d’épargne en vue de la retraite, mais, comme la volatilité des marchés fait évoluer rapidement les taux d’intérêt et que la récession nous guette, quoi faire pour mieux se préparer à une retraite qui risque de durer 30 ans?
Je suis en compagnie aujourd’hui de Michael Craig, chef, Répartition des actifs, Gestion de Placements TD, pour parler du contexte observé en 2022, voir ce que pourrait nous réserver l’avenir et réfléchir sur la situation actuelle des marchés à l’amorce de la saison névralgique des REER. Bienvenue, Michael.
MICHAEL CRAIG: Merci.
INGRID MACINTOSH: On en a déjà parlé : l’année 2022 a fait très mal. Parlez-en aux investisseurs. Les marchés boursiers étaient en baisse. Les titres à revenu fixe, qui servent habituellement de refuge, ont connu leur pire année depuis des lunes. J’aimerais prendre quelques secondes pour résumer ce qui s’est produit avant de discuter des difficultés qui nous attendent en.
MICHAEL CRAIG: Bien sûr. Pour résumé, l’année 2022 a été fertile en événements. Mais le plus important a été la remontée spectaculaire des taux d’intérêt réels. On évalue ce que le marché pense du portrait inflationniste dans les années à venir et on tient compte des taux obligataires nominaux. La différence entre les deux correspond aux taux d’intérêt réels.
Bien sûr. Pour résumé, l’année 2022 a été fertile en événements. Mais le plus important a été la remontée spectaculaire des taux d’intérêt réels. On évalue ce que le marché pense du portrait inflationniste dans les années à venir et on tient compte des taux obligataires nominaux. La différence entre les deux correspond aux taux d’intérêt réels.
Quand je regarde nos stratégies, les rendements oscillent entre –7 % et –11,5 %. Non, l’année n’a pas été facile. Mais, ça ne se compare pas à 2008 ni à 2009. On peut encaisser le coup. Mais, on ne peut pas nier le repli. J’imagine que ça compense en partie les excès de 2021.
En ce début d’année, le discours pessimiste ne manque pas d’arguments. Mais les marché vont rebondir. De fait, les actions connaissent un assez bon début d’année. Parfois, les manchettes des journaux ne reflètent pas ce qui se passe sur le marché. Et je pense que les gens ont raison de craindre une récession. Mais, à mon avis, les marchés des actifs racontent une autre histoire.
INGRID MACINTOSH: Concernant les taux d’intérêt, à la base, en quoi le portrait change-t-il pour les consommateurs? On parle du fait que les épargnants étaient pénalisés depuis 2008 jusqu’au début de 2022. Pourriez-vous d’abord décrire comment le monde a changé pour les pargnants et les investisseurs?
MICHAEL CRAIG: Globalement, les taux d’intérêt ont monté. Il y a eu beaucoup de mouvement du côté des produits offrant des taux d’intérêt à court terme. Je ferai deux commentaires. Premièrement, les niveaux actuels sont très restrictifs. J’entends par là qu’ils sont très élevés par rapport à l’inflation et à la croissance économique.
Il ne faut pas présumer qu’ils vont le demeurer à tout jamais. Si je vous disais que vous pourriez profiter d’une aubaine pendant un an ou que vous pourriez en bénéficier pendant les huit ou neuf prochaines années, vous choisiriez sans doute la seconde option. Ce type de logique pour un investisseur axé sur le revenu amène à s’intéresser aux titres à revenu fixe, parce qu’il est possible de profiter de rendements élevés pendant non pas une seule année, mais neuf années en moyenne.
Le raisonnement se tient. Souvent, ça représente le huitième d’une espérance de vie de 80 ans. L’idée générale, c’est de chercher à profiter de ces taux élevés le plus longtemps possible. Ce qui amène à considérer une stratégie axée sur les titres à revenu fixe.
INGRID MACINTOSH: Oui. J’aime bien votre approche. J’enchaîne avec une question sur les comptes d’épargne à intérêt élevé, ou CEIE, et les CPG. De fait, si on compare un CPG d’un an assorti d’un certain taux et un fonds d’obligations qui arrivent à échéance dans 15 ans en moyenne avec une durée moyenne de sept ans, vous vous assurez d’obtenir ce revenu et peut-être davantage pour une période beaucoup plus longue.
Voilà pour l’analyse scientifique ou mathématique des CPG et des CEIE. Mais, on sait que les investisseurs vivent aussi des émotions. Ce qui les amène, tout comme les conseillers, à recourir aux CPG comme refuge et à se laisser distraire par les taux d’intérêt actuels, qui sont bien plus attrayants qu’au cours des dernières années.
C’est certainement un bon refuge. Qu’en pensez-vous? Que dites-vous aux investisseurs qui se retirent des marchés pour se protéger : de placer leurs fonds à long terme dans un CEIE ou d’acheter un CPG à court terme?
MICHAEL CRAIG: La principale difficulté vient du fait que vous renoncez à votre pouvoir de décision d’investir dans un horizon de 12 mois ou de 6 mois. En parlant plus tôt cette semaine avec Alex Gorewicz, une de nos gestionnaires de portefeuille, elle se disait d’avis que, compte tenu des événements dans le monde, les rendements des titres à revenu fixe devraient varier dans une fourchette de 0 % à 10 %.
Bien des choses peuvent se produire, mais ça représente l’éventail dans lequel évoluent les rendements. Si on frappe une récession de moyenne ou de grande ampleur, les rendements obligataires vont grimper. Comme les taux d’intérêt vont s’effondrer, le cours des obligations va augmenter. Dans le cas des titres à revenu fixe, le rendement à long terme va être accentué dès le départ.
Au lieu d’obtenir en moyenne 5 % sur 10 ans, vous allez bénéficier de rendements beaucoup plus élevés à court terme, ce qui diminue les endements à plus long terme. Mais vous pouvez alors investir dans d’autres actifs moins chers en raison du choc économique qui sévit. En achetant un CPG, vous renoncez à cette option.
Je pense que c’est important... Ça demande une certaine tolérance; on ne voit pas tous les jours autant de fluctuations de prix. Mais il n’y a rien de pire que de devoir se contenter d’un rendement inférieur à l’inflation. Les tableaux Andex à long terme prouvent l’incapacité proverbiale des placements en espèces à battre l’inflation. Et...
INGRID MACINTOSH: Le rendement va assurément être négatif en termes réels, à peu de chose près.
MICHAEL CRAIG: Tout à fait. Oui. Dans 10 ans, lorsque vous allez payer l’épicerie, des frais de scolarité ou acheter une voiture, votre argent ne vaudra pas autant si vous avez souscrit des CPG. En sortant des fonds à court terme, on perd beaucoup au change à long terme. Et ça revient vous hanter lorsque l’inflation entre dans le portrait.
INGRID MACINTOSH: Les placements à court terme aident à dormir, pas ceux à long terme. Si certains comportements observés sont ancrés dans la peur, d’autres reposent sur le désir d’anticiper le marché. Que pensez-vous de l’idée d’anticiper le marché?
MICHAEL CRAIG: L’anticipation du marché, je connais ça. J’ai travaillé pour un fonds de couverture. J’ai pratiqué cet exercice durant un certain temps. Je parle donc en connaissance de cause. Je voudrais d’abord souligner quelques points.
Premièrement, plus la période pour investir est courte, plus le risque d’erreur est grand. Si on compare la spéculation sur séance avec la négociation hebdomadaire ou mensuelle, plus on a du temps devant soi, plus ça simplifie les choses. Je ne m’inquiète pas trop si je dois prendre une décision pour une période de 18 mois. La spéculation à court terme réagit simplement au bruit. Ça devient impossible. La convergence des acteurs à court terme concernant les facteurs d’influence en jeu risque d’être complètement aléatoire.
En général, les investisseurs recherchent les aubaines et se demandent pourquoi ils ont raté leur chance. C’est très important d’évaluer les diverses conjonctures dans le monde. Si on est en mesure de faire des gains dans chaque cas et si on peut bouger advenant une situation particulière qui réunit les ingrédients nécessaires pour connaître du succès.
Voilà comment il faut voir l’investissement. Si on reprend l’exemple des CPG, on peut se dire qu’à l’échéance, dans trois ans, on va acheter des obligations. Il faut se demander si l’occasion actuelle sera toujours là dans trois ans. C’est le genre de réflexions qu’il faut avoir pour mieux investir.
INGRID MACINTOSH: Vous et votre équipe gérez plus de 100 milliards de dollars d’actifs répartis selon certaines stratégies qui prévoient divers scénarios et orientent votre façon d’utiliser les outils disponibles. Dans le contexte actuel, je voudrais que vous décriviez un scénario optimiste, ou plus neutre, et un autre plus négatif de ce qui pourrait advenir dans chaque cas pour les marchés financiers. Je ne vous demande pas d’anticiper le marché ou de prédire son évolution, mais de faire appel à la logique que vous et votre équipe employez dans vos décisions à court et à long terme.
MICHAEL CRAIG: Je vais commencer par le scénario plus négatif, si ça vous va. Dans un scénario négatif, quand on traverse une période de fortes hausses des taux, il faut un certain temps pour que les effets se répercutent sur l’économie. C’est ce qu’on va commencer à ressentir en 2023 et en 2024.
Les hausses de taux, dans un contexte où les restrictions sont appelées à s’accentuer au fil du temps, vont faire en sorte de modifier les décisions d’achat des consommateurs. Par exemple, financer une voiture coûte beaucoup plus cher qu’il y a un an. Ça va peser sur la consommation. Mais, je ne vois pas de déséquilibre majeur.
Si on envisage une récession, je ne crois pas qu’elle va avoir l’ampleur de celle de 2008, lorsque le crédit a connu un resserrement. On parle d’une récession fondée sur le revenu et sur une croissance anémique de la consommation. On est habitué à ces courbes en V. En 2020, on a connu un effondrement en V, suivi d’une reprise.
En 2008, l’évolution était lente, mais je suis d’accord avec cette analyse. Si on entre en récession, elle va ressembler davantage à un L. Je ne m’attends pas à une chute brutale de l’activité économique. Le contrecoup va être un peu plus timide. Je ne pense pas que les mesures d’assouplissement monétaire vont avoir la même portée qu’on a connue précédemment. À court terme, ça va être difficile cette année.
On espère obtenir des rendements à un chiffre. Je pense que les obligations sont ajustés au risque; c’est à ça qu’on consacre notre énergie. Cet ajustement au risque est assez intéressant.
La situation des marchés boursiers diffère selon la région. L’Europe affiche un niveau très bas. L’Asie s’améliore beaucoup depuis la réouverture de la Chine. À l’échelle internationale, certaines valeurs sont attrayantes. Et je pense que le dollar américain se trouve sans doute au milieu d’un marché baissier.
À l’international, le portait est beaucoup plus intéressant. Je pense que les États-Unis sont vulnérables pour un certain nombre de raisons. C’est l’économie la plus susceptible de tomber en récession. Voilà pour le court terme.
À long terme, d’après nos hypothèses concernant les marchés financiers, un portefeuille typique 60/40 devrait afficher un rendement à un chiffre, dans la tranche supérieure, à plus longue échéance. C’est plus que l’inflation, ce qui n’est pas mal pour les clients. Dans un horizon de placement qui dépasse trois ans, ce n’est peut-être pas le temps d’investir. Ça va probablement s’améliorer [INAUDIBLE].
INGRID MACINTOSH: Il ne faut pas oublier l’anticipation du marché. Comme on parle de retraite, je voudrais discuter davantage d’une stratégie clé que vous et votre équipe déployez; je fais référence aux portefeuilles de retraite. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur leur évolution dans le temps et leur utilité pour les investisseurs qui épargnent en vue de la retraite.
MICHAEL CRAIG: Ces portefeuilles ont vu le jour au moment où les taux d’intérêt étaient à zéro. On les considère comme une option aux titres à revenu fixe, si vous voulez. L’idée de départ était d’utiliser ce qu’on appelle des stratégies de tunnel, dans le cadre desquelles des actions servent à acheter des options de vente pour se protéger des ventes massives à court terme.
Et on vend des options d’achat pour générer plus de revenu et créer un instrument qui entraîne une certaine hausse des actions sans risque de recul important. L’objectif était de gérer la séquence des rendements. L’an dernier a été difficile, pas de doute.
Ça n’a pas été mieux pour les actions. Les titres à revenu fixe ne nous ont pas choyés non plus. Même les stratégies très prudentes pour les titres à revenu fixe dans les fonds d’obligations à court terme, par exemple, à un certain moment l’an dernier accusaient un repli de 6 %. Même ça n’a pas fonctionné…
INGRID MACINTOSH: – Il n’y avait nulle part où se réfugier.
MICHAEL CRAIG: Nulle part. L’année a été terrible. À tout le moins, les clients sont nerveux et ébranlés. Aujourd’hui, la structure employée ressemble bien davantage à celles des fonds obligataires. On a augmenté le nombre de titres à revenu dans les matériaux pour profiter des rendements élevés. C’est ce qu’on va faire à court terme.
Et, à un certain moment, on pense que les marchés boursiers vont offrir une valeur suffisante. Ou on va pouvoir investir davantage dans ce qu’on appelle les actions couvertes rétablies. Comme je l’ai déjà souligné, on ne peut pas anticiper le marché; je m’en tiendrais à ça. Mais, ces stratégies comportent une répartition des actifs qui permet de remplacer une forte composante en titres à revenu fixe au profit d’une meilleure protection sous forme d’actions couvertes.
Les clients peuvent y voir une option, si on veut, afin d’espérer des rendements supérieurs à ceux des titres à revenu fixe. À l’heure actuelle, en toute franchise, si vous me demandez à quoi peut bien ressembler le succès, je dirais que si on peut poursuivre dans la même veine au cours de six prochains mois, on va être très satisfaits de ces stratégies. À mesure que les rendements vont baisser, on va chercher à les soutenir à l’aide notamment de placements privés.
INGRID MACINTOSH: En résumé, on est devant une stratégie établie au départ quand les taux d’intérêt étaient très faibles afin de permettre aux clients d’investir dans des titres à revenu fixe tout en s’assurant de profiter d’une prime sur les marchés boursiers dans le cadre d’une superposition. Mais le contexte a changé. Il n’est plus aussi nécessaire d’ajouter un complément aux titres à revenu fixe. Vous avez modifié en partie la stratégie ou avez fait appel à différents leviers, en plus d’ajouter de nouveaux outils aux stratégies. Est-ce que vous voyez ça de cette façon?
MICHAEL CRAIG: Tout à fait.
INGRID MACINTOSH: Parfait. Très bien. À bien y réfléchir, vous et votre équipe gérez une foule de mandats sous l’angle de la répartition des actifs. Vous exploitez divers outils, explorez les différents environnements et tâchez de respecter les actifs à long terme des clients. Où en sont vos projets de retraite?
MICHAEL CRAIG: Oh, ça va. Oui. Non, je continue d’accumuler. Je ne pense pas à la retraite. Ma femme me dit que je ne partirai jamais à la retraite. Disons, d’un point de vue conceptuel, que j’en suis encore à l’étape d’accumuler la richesse et d’adopter des stratégies plus risquées.
Curieusement, je suis attiré par les stratégies de fonds à long terme, sans jamais les avoir explorées. Je pense aux stratégies de croissance des dividendes, par exemple. Elles ont progressé de 70 % depuis que j’ai commencé à y investir il y a des années. C’est difficile à expliquer sans en avoir fait l’expérience soi-même.
J’aimerais bien revenir en arrière pour pouvoir me raisonner quand j’avais 22 ans. Plus on a de temps devant soi, mieux c’est. C’est là où j’en suis de ce point de vue. Et vous?
INGRID MACINTOSH: J’ai des enfants dans la vingtaine. Je ne leur donne aucun répit, que ce soit à propos du pouvoir des REER ou du portrait des entreprises. Les gens craignent toujours de s’y prendre trop tard. Je leur réponds qu’il n’est jamais trop tôt ni trop tard pour épargner en vue de la retraite.
Il faut aussi prendre soin de sa santé et s’occuper de tous ces aspects de la vie qui précèdent la retraite. Merci beaucoup de votre présence, Michael. La conversation a été des plus intéressantes sur les portefeuilles de retraite, la répartition des actifs et le contexte du marché. Il y a tant d’investisseurs qui doivent prendre ces décisions importantes.
MICHAEL CRAIG: Je vous en prie. Ça m’a fait plaisir.
INGRID MACINTOSH: Tant mieux. Nos auditeurs trouveront les perspectives récentes publiées par notre Comité de répartition des actifs sur le site de Gestion de Placements TD, oen plus d’autres commentaires sur le leadership éclairé. Comme toujours, pour recevoir l’information sectorielle la plus récente de Gestion de Placements TD, vous pouvez nous suivre sur LinkedIn. Merci à tous, et prenez soin de vous.
Renseignements importants
Les renseignements aux présentes ont été fournis par Gestion de Placements TD Inc. à des fins d’information seulement. Ils proviennent de sources jugées fiables. Ces renseignements n’ont pas pour but de fournir des conseils financiers, juridiques, fiscaux ou de placement. Les stratégies fiscales, de placement ou de négociation devraient être étudiées en fonction des objectifs et de la tolérance au risque de chacun.
Le Comité de répartition des actifs de Gestion de patrimoine TD (le « Comité ») est formé de divers professionnels des placements de la TD. Le Comité a le mandat de publier des perspectives trimestrielles qui présentent un point de vue concis sur la situation à prévoir sur les marchés pour les 6 à 18 mois à venir. Ces conseils ne garantissent pas les résultats futurs, et les événements sur les marchés peuvent se révéler sensiblement différents de ceux implicitement ou explicitement formulés dans les perspectives trimestrielles du Comité. Les perspectives trimestrielles ne remplacent pas les conseils de placement.
Le présent balado peut contenir des déclarations prospectives qui sont de nature prévisionnelle et pouvant comprendre des termes comme « prévoir », « s’attendre à », « compter », « croire », « estimer », ainsi que les formes négatives de ces termes. Les déclarations prospectives sont fondées sur des prévisions et des projections à propos de facteurs généraux futurs concernant l’économie, la politique et les marchés, comme les taux d’intérêt, les taux de change, les marchés boursiers et financiers, et le contexte économique général; on suppose que les lois et règlements applicables en matière de fiscalité ou autres ne feront l’objet d’aucune modification et qu’aucune catastrophe ne surviendra. Les prévisions et les projections à l’égard d’événements futurs sont, de par leur nature, assujetties à des risques et à des incertitudes que nul ne peut prévoir. Les prévisions et les projections pourraient s’avérer inexactes dans l’avenir. Les déclarations prospectives ne garantissent pas les résultats futurs. Les événements réels peuvent différer grandement de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives. De nombreux facteurs importants, y compris ceux énumérés plus haut, peuvent contribuer à ces écarts. Vous ne devriez pas vous fier aux déclarations prospectives.
Gestion de Placements TD Inc. est une filiale en propriété exclusive de La Banque Toronto-Dominion. MD Le logo TD et les autres marques de commerce TD sont la propriété de La Banque Toronto-Dominion ou de ses filiales.