Announceur : Gestion de Placements TD vous souhaite la bienvenue au balado de cette semaine. À titre de rappel, le présent balado ne peut pas être distribué sans le consentement écrit préalable de Gestion de Placements TD.
Jason : Bonjour et bienvenue à cette rencontre de GPTD. « Une vaste expérience » est un balado où on discute de tout ce qui touche GPTD. Aujourd’hui, on va mettre l’accent sur les occasions sur les marchés boursiers mondiaux. Je m’appelle Jason McIntyre. Je suis chef, Distribution, Gestion de Placements TD. J’ai le plaisir aujourd’hui d’être accompagné du fameux Damian Fernandes, directeur général, Gestion de portefeuille. Damian, bienvenue. Merci d’être là aujourd’hui.
Damian : Merci, Jason. Et merci d’avoir dit ces belles choses en me présentant. Ça me prépare bien à répondre aux questions difficiles.
Jason : On doit s’assurer que vous reveniez. Il faut être gentil avec vous. Écoutez, je veux me concentrer sur les occasions sur le marché boursier mondial, mais prenons un peu de recul et regardons le contexte macroéconomique. On a connu, disons, trois ans et demi d’aventure en tant qu’investisseur canadien… les taux d’intérêt qui montent à un rythme jamais vu depuis très longtemps, les marchés boursiers en déroute, les problèmes liés à la pandémie. J’aimerais avoir votre point de vue sur cette période, sur les marchés boursiers mondiaux et les occasions qui se sont présentées et qui se présenteront.
Damian : C’est une excellente façon de commencer. Jason, je vais peut-être dire quelque chose de controversé. Et si on avait cette conversation en 2019, quand on pensait que la Corona était une bière, et on ne comprenait pas qu’on allait tous être mis en quarantaine à la maison et vivre dans la peur, la peur viscérale, parce qu’on a tous les deux une famille, ce que ça signifie pour nos proches, et le succès d’un vaccin qui a atténué les pires effets, puis la lenteur de la reprise, il s’est passé tellement de choses, et les marchés sont en hausse. Les marchés sont en hausse, je l’ai regardé ce matin, si vous regardez de la fin de 2019, donc du 31 décembre 2019 à aujourd’hui, le S&P 500 a monté de 46 %. La Bourse de Toronto a augmenté de 33 %… des rendements décents et beaucoup d’émotions. Quand je dis que ça fait ce que c’est censé faire, ce que les gens n’acceptent pas c’est que dans le cas du S&P, les bénéfices sont passés de 160 à 220. Les bénéfices ont donc augmenté de 36 %. Je suppose que le rendement du marché est un peu plus élevé que les bénéfices, mais pas exagérément. Et pour la Bourse de Toronto, le marché canadien, c’est littéralement 33 %. Les bénéfices sont en hausse de 33 %. Le marché a progressé de 33 %. Ma perspective controversée, c’est qu’on a connu beaucoup de volatilité économique émotionnelle sur les marchés, mais les marchés ont fait ce qu’on attendait. Ils ont suivi la trajectoire des bénéfices et des flux de trésorerie. Dans le cas du marché canadien, les bénéfices ont augmenté de 33 %. Et le marché a progressé de 33 %. C’est la même chose pour la croissance du PIB. La croissance du PIB est supérieure à ce qu’elle était avant la pandémie.
Jason : Le thème étant la controverse, laissez-moi vous lancer quelque chose. Si je regarde le portefeuille d’un investisseur, et surtout quand on examine les conseillers avec qui on travaille et la façon dont ils bâtissent leur clientèle, on voit beaucoup plus de placements en espèces et en quasi-espèces aujourd’hui dans les portefeuilles, beaucoup plus qu’en 2019. Les taux des CPG, je pense que je vous ai dit l’autre jour, que j’étais dans l’Ouest et un conseiller m’a dit qu’il a un CPG d’un an qu’il vient de renouveler pour un client à 6,25 %. C’est différent. Donc, même si les marchés ont fait ce à quoi on s’attendait, la composition du portefeuille de nos conseillers est très différente. Aujourd’hui, si je fais des placements, pourquoi ne pas opter pour un CPG d’un an à 6 % plutôt que certains de ces autres placements qui composent habituellement un portefeuille relativement de base?
Damian : Les autres placements sont des actions et des obligations ennuyantes, n’est-ce pas? OK, quelques précisions. Si je veux être controversé, je vais dire quelque chose qui, selon moi, n’est pas controversé. Je dirais que durant cette pandémie et après, la montée des médias sociaux a exacerbé les émotions et réduit les horizons de placement.
Les gens s’attendent à trouver le croque-mitaine à chaque tournant. Plus tôt cette année, les gens étaient convaincus qu’on allait entrer en récession. Et je gagne 5 % ou 6 %, disons 6 %, n’est-ce pas? On va dire 5 %, c’est plus facile. Si, au 31 décembre 2022, on pense que la récession approche. On est toujours en conflit géopolitique, et l’inflation est un problème.
Je vais me cacher dans mon CPG de 5 %. Bien sûr, faites-le. On enregistre ce balado fin septembre, les 3/4 de l’année sont passés. Votre 5 % vous a versé 3,75 %. C’est avant le taux d’imposition marginal le plus élevé sur le revenu d’intérêt. Et quand j’ai regardé ce matin, la Bourse de Toronto, qui était sous les marchés mondiaux, est en hausse de 7 %, n’est-ce pas?
Le marché américain est en hausse, de 15 % à 16 % peut-être. Le marché mondial a progressé de 15 %, 16 %. Le Japon a progressé de 20 %. Je suppose que ce qui s’est passé, c’est que la peur des gens a accéléré… c’est les médias sociaux, c’est une foule de choses, je vais quand même prendre le 5 %. Mais 5 % ou 6 % ne suffiront pas à couvrir votre passif.
L’inflation est en baisse, mais aujourd’hui, on vient de voir qu’elle est de plus de 4 %. Si vous gagnez 5 % ou 6 %, pour votre client qui a un passif dans la prochaine année, bien sûr, placez-le dans des CPG. Mais on est dans le domaine de la gestion de patrimoine, et je pense que la clé c’est d’accroître votre patrimoine. Je ne pense pas que ça soit possible de le faire les CPG. Et je ne sais pas si c’est une déclaration controversée à 6 %, mais je si je prends les marchés boursiers mondiaux jusqu’à 10 % en moyenne annuelle, au 3/4 de l’année, ça représente 3,5 %, et 3,75 % pour le CPG jusqu’à maintenant.
Jason : Des points à prendre en considération… très bons points. Je pense qu’il y a un aspect comportemental aux conseils que les conseillers doivent travailler avec les clients. Mais il faut trouver l’équilibre entre la théorie comportementale et la réalité du marché, comme vous le dites, et ce qui sera le mieux à long terme. Et une partie de notre travail consiste à nous assurer que les gens sont investis dans des portefeuilles qui reflètent leur tolérance au risque et leur horizon de placement. Je pense que c’est très bien noté. Vous avez brièvement parlé de croissance économique et de la situation actuelle. J’ai vu l’autre jour que la croissance du PIB des États-Unis au troisième trimestre semble bien supérieure aux prévisions, ce qui est excellent. Étant donné que vous gérez des actions américaines et des actions mondiales, qu’est-ce que ça signifie par rapport aux occasions aux États-Unis? Et comment cela pourrait-il s’étendre aux occasions mondiales?
Damian : Bien sûr. Tout d’abord, je pense que c’est notre dernière ruée pour la consommation de services, parce qu’une grande partie de cette croissance du PIB… on est au troisième trimestre, le PIB est en fait stimulé par la consommation de services. Je pense que le signe de notre époque, et peut-être, Jason, connaissez-vous le terme Barbenheimer?
Jason : Les films.
Damian : Les films Barbie et Oppenheimer ou même le terme Beyhive, pour les fans de Beyoncé, ou Swifties, pour les fans de Taylor Swift.
Jason : Vous êtes un grand Swiftie.
Damian : J’aime les premières chansons de Taylor Swift. Je n’ai pas assisté au concert. Vous avez peut-être pris ces billets pour votre fille. Mais d’une façon ou d’une autre, mettons les choses en perspective. Et je parle de cette croissance rapide du PIB au troisième trimestre parce que… c’est dans les données, la consommation de services, Barbenheimer va générer 1,1 milliard de dollars de vente de billets à l’extérieur de l’Amérique du Nord. Il s’agit donc d’exportations nettes. C’est positif. C’est un ajout au PIB. Le fan moyen de Taylor Swift dépense 1 500 $ pour le billet, l’hébergement, etc. Beaucoup plus, vous ne pouvez même pas obtenir de billet à Toronto. Nous sommes à Toronto en ce moment, 1 500 $, ce n’est pas possible pour Taylor Swift. Elle a donné 14 concerts, et le stade moyen comptait environ 55 000 personnes. Ces chiffres totalisent rapidement des milliards. Alors, quand je dis que c’est la dernière ruée vers le service, les gens vont regarder le PIB du troisième trimestre et dire que c’est un gros chiffre. Et c’est la dernière ruée vers la consommation de services. Je pense que les hausses de taux de la Fed et des banques centrales ralentissent l’économie. Vous le voyez lorsque vous regardez les taux préférentiels, les coûts des taux d’intérêt et les prêts hypothécaires. Et ça a l’effet souhaité. L’inflation était de 9 % l’an dernier. Il est dans les 4 % en ce moment. La croissance ralentit. Et je pense qu’on entre dans un environnement plus normal, ce qui est généralement bon pour les marchés.
Jason : C’est très intéressant. Je n’avais pas vu ça venir, mais merci pour ces renseignements. Passons maintenant à la gestion des placements. Parlez-nous un peu de l’équipe de gestion fondamentale des actions, de votre travail, de la taille de l’équipe. Les résultats parlent d’eux-mêmes, et l’équipe a obtenu un rendement extraordinaire. Mais pouvez-vous nous donner un aperçu plus intime, de l’équipe, et comment vous sentez-vous par rapport à la gestion fondamentale des actions.
Damian : Je n’exagère pas, je trouve ça génial. Je ne pense pas que les gens comprennent bien le sérieux de ma déclaration quand je dis ça, on a l’une des plus grandes équipes de gestion fondamentale au pays. On a maintenant plus de 20 analystes. Une foule de gestionnaires de portefeuille chevronnés avec une vaste expérience du secteur sur plusieurs marchés boursiers… Canada, États-Unis et ailleurs dans le monde. Et on fait partie de l’équipe Gestion fondamentale des actions de GPTD. On forme un groupe uni. On peut tirer parti de nos expériences respectives. Et on a conçu des produits qui sont des fonds quatre ou cinq étoiles ou qui génèrent une valeur énorme pour les clients. Et je pense que ça témoigne de l’excellence du leadership. Ça témoigne de l’excellence des personnes qu’on a embauchées. On n’a vraiment perdu personne volontairement, et la continuité, vraiment.
J’adore venir au travail. J’adore travailler avec mon équipe. Mais pour vous répondre, ça fait 11 ans que je travaille à Gestion de Placements TD, et j’ai vu nos analystes débutants croître et se développer pour devenir gestionnaires de portefeuille. Il y a des recherches approfondies sur le secteur. Ils rédigent des rapports bien conçus.
Et ce qu’on essaie toujours de faire, c’est de filtrer le bruit, n’est-ce pas? Vos clients reçoivent des renseignements instantanément sur Twitter… désolé, ce n’est plus Twitter. C’est X. C’est X, ou d’autres médias sociaux… on veut exploiter ce quasi-scepticisme selon lequel les gens veulent faire des opérations, veulent agir sur le caractère immédiat de l’information, alors qu’investir, c’est arbitrer l’horizon temporel, n’est-ce pas? Capitaliser les flux de trésorerie, penser aux entreprises de qualité en croissance. Je pense que c’est notre point fort. Toute notre équipe, l’une des plus grandes équipes d’analystes, travaille avec des gestionnaires de portefeuille et des scientifiques des données, vers cet objectif.
Jason : C’est formidable. Et je peux dire que c’est vrai, ayant travaillé avec vous et tous les membres de l’équipe, mais pas seulement pour le rendement exceptionnel et les choses que vous présentez de ce point de vue, mais aussi le soutien, le marketing et les commentaires que vous offrez, ça nous aide vraiment beaucoup dans nos relations avec les clients. On pourrait peut-être terminer par un examen approfondi de quelques mandats. Vous parlez des cotes Morningstar de cinq étoiles et du rendement. Commençons par le Fonds concentré d’actions mondiales TD. Donnez-nous des faits saillants et expliquez-nous ce que signifie « concentré ».
Damian : Donc, par pure coïncidence, aujourd’hui est le 13 septembre, n’est-ce pas? Le jour où on enregistre l’émission. On célèbre aujourd’hui le 5e anniversaire de ce Fonds concentré d’actions mondiales. C’est l’équipe. C’est un travail d’équipe. C’est un fonds cinq étoiles. C’est extrêmement bien géré.
Le mot « concentré » représente simplement l’idée qu’on veut bâtir un portefeuille composé des meilleures entreprises mondiales à capitaliser, entre 45 et 55 actions, puis diversifier ces entreprises pour ne pas prendre des risques involontaires. Pensez aux cinq dernières années. On a commencé la conversation en parlant de la COVID-19. Lors du lancement de ce fonds, la Réserve fédérale, à la fin de 2018, envisageait de mettre fin au resserrement quantitatif. Cela a entraîné une certaine indigestion du marché. Au moment du lancement, on vivait une période très volatile.
Ensuite, il y a eu la reprise, les réductions d’impôt de Trump qui ont stimulé les bénéfices. Ensuite, il y a eu la COVID-19 et le confinement. Et tout au long de cette période, grâce aux compétences de notre équipe, à notre façon de bâtir les portefeuilles et de réfléchir aux entreprises à capitaliser, on a réussi à garder la tête froide, sans prendre de risques involontaires, sans modifier le portefeuille, on a acheté que des actions de sociétés de qualité qui, tout au long de cette période de cinq ans, ont accru leurs flux de trésorerie, et desquelles les cours des actions ont suivi. Nos clients qui ont investi là-dedans, et j’en suis très fier, ont très bien réussi, leur taux composé a atteint deux chiffres au cours de cette période très volatile.
Jason : Alors, si on regarde à partir de ce premier jour vers l’avenir, compte tenu du contexte économique que vous avez décrit, pouvez-vous nous citer un ou deux domaines d’intérêt pour vous et l’équipe, que ce soit des régions, des secteurs ou autres que vous aimeriez examiner pour la croissance au cours de la prochaine période?
Damian : Oui, bien sûr. Prenons un peu de recul, d’accord. D’abord, je l’ai déjà dit, la façon dont on veut bâtir des portefeuilles et choisir les actions à rendement élevé est d’exploiter le scepticisme quant au montant de liquidités que ces sociétés vont générer. Là où je pense qu’il y a une perturbation, tout le monde veut parler d’IA en ce moment, et pour être clair, on a NVIDIA, et on a des pions dans ce jeu. Mais pour moi, ce qui est le plus intéressant, c’est la prochaine étape : comment l’intelligence artificielle s’intègre-t-elle aux entreprises? Dans notre secteur, par exemple, comment Gestion de Placements TD utilise l’intelligence artificielle pour améliorer sa proposition de valeur aux clients? Pour nous, ce qu’on veut, c’est penser à des modèles d’affaires où l’IA peut en fait améliorer le surplus de consommation, puis ces sociétés, comme elles ont déjà une entreprise, pourront soit réduire les coûts, soit améliorer les revenus.
Je peux vous donner quelques exemples, c’est un aspect qui nous enthousiasme beaucoup. L’autre aspect, vous avez parlé des régions, une région où j’ai passé beaucoup de temps est le Japon. Le Japon a de merveilleux modèles d’affaires qui génèrent des flux de trésorerie faramineux et un leadership sectoriel, qu’il s’agisse d’automobiles, de machines ou de pièces.
Mais surtout, parce que le Japon devait encore faire face aux conséquences de sa grande dépression, il y a des sociétés qui ont des bilans comportant très, très peu de dettes et beaucoup de placements croisés. Le Japon connaît une phase de gouvernance d’entreprise intéressante : si vous êtes une société japonaise et que vous avez ces actifs sur votre bilan qui ne sont pas rentables, les organismes de réglementation vont en fait vous forcer à créer de la valeur, à céder ces actifs, à améliorer les RCP.
Je pense que vous avez deux éléments. Ce que je veux dire, c’est que vous avez, évidemment, ces sociétés de grande qualité qui jouent sur la croissance mondiale, et vous avez cet élément ajouté de la réforme de la gouvernance d’entreprise qui améliore les rendements. On aime ça.
Jason : Excellent. Je suppose que les pratiques sont semblables, ou identiques, pour le fonds aux États-Unis.
Damian : Oui. En fait, c’est l’idée quand on parle de « concentré », et on a une plateforme pour ça. On a mis l’accent sur les actions mondiales et on a obtenu de très bons résultats. Pour le Fonds concentré américain, américaines, c’est la même idée. En fait, ce sera encore plus concentré. Ce fonds compte moins de 35 sociétés… des sociétés de grande qualité dont les flux de trésorerie sont sous-évalués. Ensuite, il y a Jeff Tiefenbach, qui vient tout juste de lancer son fonds concentré international. Pour nous, je le dis tout le temps, j’espère qu’on s’intègre à l’une des plateformes de vos clients, mais je ne veux pas dire aux gens quels produits on veut intégrer, n’est-ce pas?
On est des pâtissiers. On fait des gâteaux de grande qualité. Quel gâteau voulez-vous? Je ne suis pas amateur de gâteau aux carottes, mais j’aime le gâteau au chocolat noir. Je ne sais pas pour vous, Jason, mais…
Jason : Gâteau au chocolat noir et Taylor Swift, tout un vendredi soir pour la famille Fernandes. Quoi qu’il en soit, Damian, c’est une excellente mise à jour. Merci d’avoir été des nôtres. On serait heureux de vous revoir bientôt. Je pense que c’était excellent, très informatif, et j’apprécie vraiment tout le travail accompli par vous et toute l’équipe. Et merci d’avoir pris le temps de venir nous voir aujourd’hui.
Damian : Merci, Jason. C’est toujours un plaisir.
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