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février 18 2022

Balado TDAM Talks: Relèvement imminent – Investir dans un contexte de hausse des taux

Lecture de 20 min

Ingrid Macintosh, VP, Gestion de patrimoine TD et cheffe, Aide à la vente, Communications et Stratégie numérique; Robert Pemberton, directeur général et chef, Titres à revenu fixe.

Les banques centrales nord-américaines étant sur le point de déclencher une série de hausses des taux d’intérêt, les investisseurs sont préoccupés par les pressions inflationnistes, l’avenir de l’économie mondiale et leurs portefeuilles.

Dans un nouvel épisode du balado TDAM Talks, Ingrid Macintosh, VP, Gestion de patrimoine TD et chef, Aide à la vente, Communications et Stratégie numérique, Gestion de Placements TD (GPTD), accueille un invité spécial, Robert Pemberton, directeur général et chef, Titres à revenu fixe, GPTD. Ils discutent du rythme de la hausse des taux, de la croissance mondiale en 2022 et des occasions pour les investisseurs en titres à revenu fixe sur l’ensemble de la courbe des taux.

Sujets abordés

 

  • Alors que la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine annoncent des hausses des taux d’intérêt, quelles sont les prévisions d’inflation? (1:00)
  • Dans quelle mesure et à quel rythme les banques centrales agiront-elles? Quel est le taux final prévu? (8:00)
  • Qu’est-ce que cela signifie pour les investisseurs en titres à revenu fixe? (5:30)
  • La croissance mondiale demeurera-t-elle positive malgré la pandémie qui perdure et la hausse des prix à la consommation?
  • Quels seront les effets à court et à long terme des taux plus élevés sur les emprunteurs? (17:00)

Si vous voulez écouter d’autres épisodes, consultez la page du perspectives. Pour donner vos commentaires ou recommander des sujets, écrivez à td.tdamtalks@td.com.

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Transcription

NARRATRICE : Gestion de Placements TD vous souhaite la bienvenue au balado de cette semaine.

À titre de rappel, le présent balado ne peut pas être distribué sans le consentement écrit préalable de Gestion de Placements TD.

INGRID MACINTOSH : Le mois de janvier touche à sa fin, et les banques centrales d’Amérique du Nord continuent de reporter les hausses de taux.

Ici Ingrid Macintosh, animatrice du balado TDAM Talks. Cette semaine, j’accueille l’un de nos invités favoris, Rob Pemberton, chef, Titres à revenu fixe à Gestion de Placements TD.

Au programme de cet épisode : la situation des marchés, les activités des banques centrales, l’inflation et les taux.

Rob, bienvenue à ce balado.

ROB PEMBERTON : Ravi de te retrouver, et bonne année tout le monde.

INGRID MACINTOSH : Bonne année à toi aussi.

Au moment où nous enregistrons ce balado, la Banque du Canada et la Fed ont toutes deux décidé de marquer une pause et d’attendre avant de relever leurs taux.

On est dans une situation très complexe.

Quel message les banques centrales nous envoient-elles et qu’est-ce que ça veut dire pour l’inflation?

ROB PEMBERTON : De façon générale, la Banque du Canada a pris des décisions conformes à ce qu’elle avait annoncé. Elle avait dit qu’elle attendrait des conditions propices pour relever les taux, à savoir que l’écart de production se résorbe et que les chiffres d’emploi soient satisfaisants. Et d’après le communiqué et la conférence de presse qui ont suivi, les conditions sont clairement réunies.

On s’attend maintenant à ce que la Banque du Canada relève ses taux en mars, a priori de 25 points de base, ce qui marquera le début d’un long cycle de hausses.

En ce moment, le marché table sur cinq hausses de la Banque du Canada en 2022. De notre point de vue, c’est un rythme un peu rapide compte tenu de tout ce que la banque a laissé entendre jusqu’ici. Mais c’est certain que les taux d’intérêt à court terme vont grimper tout au long de 2022.

La Fed s’est également réunie cette semaine, et elle a annoncé qu’il fallait s’attendre à une hausse des taux en mars. On peut en tirer plusieurs conclusions. D’abord, les banques centrales reconnaissent qu’Omicron laisse encore planer une certaine incertitude. On reste dans le purgatoire de la pandémie, ce qui joue sur la croissance économique.

Et je crois que les banques centrales craignent aussi que leurs actions risquent d’être mal interprétées si elles relevaient les taux alors que les économies en sont à différents stades de confinement. D’ici au mois de mars, je ne m’attends pas à ce qu’on soit en bonne position. Et les banques centrales vont sans l’ombre d’un doute commencer à relever les taux.

C’est intéressant à noter –

INGRID MACINTOSH: Je vais –

ROB PEMBERTON: Pardon, vas-y.

INGRID MACINTOSH: J’allais réagir sur ta remarque concernant les quatre hausses de taux cette année et peut-être d’autres en 2023.

C’est vrai qu’on en entend parler dans la presse, qui affectionne beaucoup ce sujet. D’après ce qu’on en perçoit, quatre hausses en 2022 semblent plus raisonnables, à raison d’un quart de point à la fois.

Ça semble un peu plus prudent que ce que laissent entendre les nouvelles.

C’est ce que j’en comprends.

Tu as déjà dit que la Banque du Canada se préoccupe bien plus de l’état de l’économie et de la situation de la population que de celle des marchés financiers. Et c’est vraiment ce qui va donner le ton.

ROB PEMBERTON: Et la réponse à ces deux questions est oui. Pour ce qui est des hausses de taux d’intérêt, on a une vision plus prudente, plus conservatrice que celle des marchés. Et le gouverneur Macklem a déclaré que selon lui, les taux d’intérêt ne pourront pas augmenter autant que par le passé.

Dans ces circonstances, s’il y avait cinq ou six hausses de taux en 2022, il me semble que la banque arriverait, entre guillemets, à court de munitions. Et il y a peu de chance que la Banque du Canada relève ses taux à ce rythme, du moins à ce stade.

Pour la Réserve fédérale – pardon, je reviens à ce que tu disais sur l’économie, c’est clairement la priorité de la Banque du Canada.

À titre de rappel, son mandat est d’assurer la stabilité des prix.

INGRID MACINTOSH: Tout à fait.

ROB PEMBERTON: Le mandat de la Fed, c’est la stabilité des prix et le plein emploi. Si l’on regarde les choses sous cet angle, la stabilité des prix engendre le plein emploi aux yeux de la Banque du Canada. Elle cherche donc à ancrer les attentes inflationnistes. Je rappelle aux auditeurs qu’en soi, les hausses de taux ne résoudront pas les goulots d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement. Il s’agit donc plutôt d’ancrer les attentes inflationnistes que de changer la dynamique de l’offre et de la demande, du moins dans la manière dont les banques centrales vont tenter de gérer cela.

INGRID MACINTOSH: La discussion est axée sur le rythme de ce processus, et peut-être un peu aussi sur sa destination finale. Jusqu’où la Banque du Canada pourrait-elle aller, par exemple?

Après une première hausse de 25 points de base, jusqu’où les taux pourraient-ils grimper?

ROB PEMBERTON: D’accord. Encore une fois, si on se fie à ce qu’anticipe le marché, la Banque du Canada devrait relever ses taux jusqu’à 2,5 %. Et c’est sur le long terme. Le marché s’attend à environ un taux final de 2 % pour la Fed, à la fin de ce cycle de hausse des taux.

Mais c’est intéressant de noter ce qu’a dit le gouverneur Macklem, à savoir qu’il y a peu de chances que les taux augmentent autant qu’aux cycles de hausse précédents. La dernière fois, ils sont montés aux alentours de 1,75 %, 2 %. Pour moi, ça veut dire qu’il sera probablement difficile d’appuyer trop fort sur la pédale de frein en augmentant les taux d’intérêt.

Et si on regarde les courbes des taux de rendement des obligations à 2 ans et 10 ans, l’écart commence vraiment à se comprimer. L’écart entre les deux se resserre. Et à mesure que l’écart de taux diminue, le risque que les économies se retrouvent sous pression augmente. Sous cet angle, je crois que les banques centrales devront rester prudentes et surveiller les courbes des taux de rendement des obligations durant ce cycle de hausse des taux d’intérêt.

INGRID MACINTOSH: C’est le moment de passer des répercussions sur l’économie aux répercussions sur les marchés, et plus particulièrement sur les marchés des titres à revenu fixe qui représentent, comme on le sait, une part importante des portefeuilles de nos clients. Alors, qu’est-ce que ça signifie pour les investisseurs en titres à revenu fixe?

ROB PEMBERTON: Ce que je regarde vraiment, c’est ce à quoi tu as fait allusion tout à l’heure, c’est-à-dire jusqu’où iront les banques centrales et quel sera le taux final. Qu’est-ce que ça veut dire pour les investisseurs? Pour nous, si le taux du financement à un jour passe à 2 % ou à 2,5 %, selon le marché, qu’est-ce que ça signifie à long terme?

On estime qu’il y aura de la volatilité sur la portion à court terme de la courbe des taux de rendement, le temps que les taux d’intérêt s’ajustent, car le dernier cycle de hausse remonte à relativement longtemps. Mais la portion à long terme de la courbe de rendement, à 10 ans, 30 ans, demeure très bien ancrée. Et même si on constate une hausse modeste des taux d’intérêt dans cette partie de la courbe, on ne s’attend pas à des mouvements de l’ampleur de ceux observés depuis les creux d’août 2020. Donc, à mon avis, on va vraiment voir des ajustements dans la portion à court terme la courbe des taux.

Et du point de vue des placements, on a pu tirer parti de cette situation en ajustant le positionnement au sein des portefeuilles pour préserver et protéger le capital des clients. Je crois que si l’on continue à entendre des discussions et à voir des mouvements de taux d’intérêt de la part des banques centrales, il y aura aussi plus d’opportunités.

Dans un contexte de plus forte volatilité, on a l’occasion de tirer parti des perturbations du marché, ce qui plaide vraiment en faveur d’une gestion active, parce que dans ce type d’environnement, le simple fait d’accepter les rendements du marché risque de rendre les choses très difficiles pour les portefeuilles des clients.

INGRID MACINTOSH: C’est intéressant ce que tu dis sur l’évolution de la courbe des taux, parce qu’en ce qui concerne les portefeuilles de placement, notre intuition nous dit que si les taux commencent à grimper, on aura des rendements négatifs. Mais ce que j’entends, c’est que le marché tient déjà compte de ces hausses. L’effet s’est déjà fait sentir sur les titres à revenu fixe ces 12 à 18 derniers mois. Le processus est donc déjà entamé.

Je propose de laisser un peu de côté la courbe des taux de rendement pour revenir à l’économie. Nous y revoilà. Il y avait un vent d’optimisme à la fin de 2021, on pensait voir le bout de la pandémie, puis Omicron est arrivé. Et avec lui, le rétablissement de restrictions. Des pénuries de main-d’œuvre. De nouvelles perturbations. Selon toi, à quoi ressemblera la croissance mondiale en 2022?

ROB PEMBERTON: Elle sera certainement au ralenti par rapport à 2021, et ce pour un certain nombre de raisons, dont celles que tu as évoquées et qui ne sont pas des moindres. Encore une fois, on veut en finir avec la pandémie, mais elle n’en a pas fini avec nous.

INGRID MACINTOSH: Oui, c’est tout à fait ça.

ROB PEMBERTON: Le virus perturbe toujours les chaînes d’approvisionnement et les transports, ce qui a un impact réel sur les coûts de l’énergie, de l’alimentation et de certains biens durables. Ça se répercute fortement sur l’ensemble des consommateurs. La pandémie va continuer de présenter des défis en 2022.

Le montant des mesures de relance budgétaire a été réduit à presque rien par rapport à 2020 et début 2021, parce que les programmes destinés à soutenir les particuliers sont arrivés à leur terme. Et comme sur le plan monétaire, on va amorcer un cycle de resserrement, on va se trouver face à deux facteurs défavorables à la croissance. C’est donc un autre défi à ajouter à la liste.

Et puis dans le contexte de hausse des prix, avec l’énergie qui demeure élevée pour le consommateur moyen, le coût du carburant, du chauffage domestique, et j’en passe, les effets se font sentir et agissent vraiment comme une taxe sur le pouvoir d’achat.

Il y a donc une convergence de facteurs qui, selon moi, vont tempérer la croissance.

La croissance restera positive.

On n’est aucunement en train de glisser vers une récession. La croissance sera positive. Mais elle ne sera tout simplement pas aussi positive ou robuste qu’en 2021. Et je crois que ce sera le cas tout au long de l’année et au début de l’année prochaine, avant qu’on ne rejoigne de nouveau de la tendance.

INGRID MACINTOSH: D’accord. On va continuer de progresser, mais le chemin sera un plus cahoteux et le rythme plus laborieux qu’en 2021.

On a parlé des taux.

On a parlé de l’économie. On a parlé de la courbe des taux. Et des perspectives de croissance pour les titres à revenu fixe. Faisons le lien avec le point de vue du Comité de répartition des actifs de Gestion de patrimoine.

Étant donné que l’on continue de sous-pondérer les titres à revenu fixe en raison du faible potentiel de hausse, qu’est-ce que cela signifie pour les investisseurs? Quel est l’avis du Comité au sujet de la répartition des titres à revenu fixe dans l’absolu et plus précisément, au sujet du continuum des titres à revenu fixe?

ROB PEMBERTON: De façon générale, on pense que la croissance restera forte, mais pas aussi forte qu’avant. Par conséquent, on conserve notre positionnement en surpondérant légèrement le risque, avec une légère surpondération des actions et une légère sous-pondération des titres à revenu fixe.

Du côté des actions, on privilégie dans l’ensemble les actions canadiennes. Et on adopte une position plus neutre concernant les actions américaines dans le contexte actuel, compte tenu de ce que l’on anticipe.

Et pour les portefeuilles multiactifs, on apprécie toujours les placements alternatifs, les actifs réels et les infrastructures qui continuent d’offrir une bonne diversification et un certain degré de protection contre l’inflation.

Du côté des titres à revenu fixe, on continue de surpondérer les titres de créance. Comme les auditeurs le savent, les bénéfices demeurent très solides. Les flux de trésorerie disponibles restent très solides et soutiennent grandement les obligations de sociétés.

On maintient donc la surpondération. On sous-pondère notre exposition aux titres de créance souverains. Selon nous, ces titres ne procureront pas de rendement réel aux investisseurs en raison de l’inflation et des hausses des taux des banques centrales, en particulier sur la portion à court terme de la courbe des taux.

Et pour se protéger contre l’inflation, on mise sur les ORB et les TIPS. Compte tenu de ce qui s’est passé avec les taux d’intérêt et le taux réel – c’est-à-dire l’écart entre les obligations indexées sur l’inflation et nominales – on estime que les occasions ne sont pas aussi intéressantes qu’avant et on est passés d’une surpondération des obligations indexées sur l’inflation à une pondération neutre. Cela témoigne des nuances dans l’univers des titres à revenu fixe.

De même, on maintient une légère sous-pondération sur le plan de la durée dans les portefeuilles compte tenu des hausses de taux d’intérêt prévues, encore une fois pour protéger le capital des clients. Si les années 2019 et 2020 ont été consacrées à la constitution de capital, la priorité en 2021 et 2022 est de préserver ce capital, d’offrir de la sérénité aux clients et de miser sur la diversification dans une période marquée par une certaine volatilité sur les marchés boursiers. C’est donc une vue d’ensemble de notre approche. Vas-y si tu as d’autres questions.

INGRID MACINTOSH: J’allais justement dire que cette approche cadre avec ce que l’équipe Titres à revenu fixe de Gestion de Placements TD s’efforce de faire depuis toujours : s’assurer que jour après jour, le portefeuille apporte un taux additionnel. Et c’est particulièrement important dans les périodes où il faut amortir les hausses de prix qui pourraient résulter de la hausse des taux d’intérêt. C’est ainsi que vous avez toujours procédé. Et c’est plus important que jamais.

J’aimerais glisser une dernière question. Quand les gens pensent à la hausse des taux et à leur portefeuille de placement, après des années douloureuses pour les épargnants qui ont été franchement pénalisés depuis bien longtemps, l’avenir semble plus prometteur.

À l’autre extrémité du spectre, les emprunteurs ont pu s’en donner à cœur joie ces dernières années. Et beaucoup de gens se sont potentiellement surendettés avec des placements hypothécaires. Quelles sont les perspectives pour les emprunteurs, et comment faut-il envisager les prochaines années?

ROB PEMBERTON: Dans l’immédiat, je ne pense pas qu’il y aura d’impact négatif sur les emprunteurs. Il va falloir un certain temps avant que les hausses de taux d’intérêt ne se répercutent. Ceux qui ont des prêts hypothécaires doivent réfléchir à la date de la prochaine renégociation des conditions du prêt, et aux conséquences. En réalité, c’est sans doute dans deux ou trois ans que l’on verra les effets, quand il y aura plus de refinancements. Les investisseurs doivent garder cela en tête. Les emprunteurs doivent réfléchir à ce qu’ils veulent faire entre-temps.

Pour ce qui est du risque global que posent les prêts hypothécaires pour l’économie, j’ai tendance à surveiller surtout les chiffres de l’emploi plutôt que les niveaux actuels des taux d’intérêt. C’est l’emploi qui va offrir le soutien dont on a besoin pour la stabilité du marché du logement.

Il me semble qu’en l’état actuel des choses, les emprunteurs seront en mesure de surmonter ces hausses et de s’adapter aux changements avant le prochain refinancement. Ceux qui ont un taux fixe à cinq ans doivent réfléchir à la prochaine renégociation de leur taux hypothécaire avec leur banque. Il faut se préparer à des taux plus élevés, mais dans l’immédiat, je ne pense pas qu’il y aura des effets négatifs.

INGRID MACINTOSH: C’était un tour d’horizon très complet du sujet, on a abordé les taux d’intérêt sous tous les angles.

Rob, merci beaucoup, comme toujours, pour ces explications.

À nos auditeurs : allez sur le site de Gestion de Placements TD pour lire les dernières perspectives du Comité de répartition des actifs, en savoir plus le leadership éclairé et découvrir des commentaires sur une foule de sujets.

Et si vous voulez profiter de l’expertise et des dernières nouvelles, suivez-nous sur Twitter @TDAM_Canada et sur LinkedIn à TD Asset Management.

Rob, merci encore.

Bonne journée.

Bonne année!

Et à tous ceux qui nous écoutent, à bientôt.

Renseignements importants

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