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Services bancaires en gros

Revue du rendement financier en 2003

Les Services bancaires en gros ont présenté un revenu net selon la comptabilité de caisse de 363 millions de dollars pour 2003, en regard d’une perte nette de 657 millions de dollars en 2002. Le rendement du capital investi moyen s’est établi à 8,2 %, contre (16,1) % en 2002. La perte économique s’est dégagée à 193 millions de dollars par rapport à 1 192 millions de dollars en 2002. L’amélioration du rendement en 2003 tient principalement à la forte réduction des pertes sur créances depuis 2002, mais tient aussi compte d’une imputation après impôts et taxes de 289 millions de dollars liée à la restructuration et à la dépréciation de l’écart d’acquisition de l’entreprise de négociation d’options sur actions et de l’incidence de l’abandon du portefeuille de prêts secondaires.

Les revenus des Services bancaires en gros sont tirés surtout des services de placement des services aux grandes entreprises, des marchés financiers et des activités de placement. Les revenus ont fléchi de 18 % par rapport à ceux de 2002 pour s’établir à 2 177 millions de dollars. Le portefeuille de prêts secondaires a subi des pertes de 113 millions de dollars sur des actifs vendus et des positions en instruments dérivés. Les revenus tirés des marchés financiers, qui comprennent les services de consultation, de prise ferme, de négociation, de facilitation et d’exécution, ont faibli de 198 millions de dollars par rapport à ceux de 2002. Ce recul est en grande partie attribuable à la baisse des revenus tirés des services de négociation de nos activités de produits structurés.

La situation des provisions pour pertes sur créances s’est renversée, passant d’une imputation de 2 490 millions de dollars en 2002 à une libération de 80 millions de dollars des provisions sectorielles en 2003. La provision globale générale de 2002 comprenait des provisions sectorielles de 1 450 millions de dollars liées au portefeuille de prêts secondaires. Le solde des provisions sectorielles s’élevait à 541 millions de dollars à la fin de 2003 en regard de 1 285 millions de dollars à la fin de 2002. Le portefeuille de prêts principaux n’a pas subi de pertes sur créances en 2003.

Les frais autres que d’intérêts pour 2003 ont grimpé de 43 % pour s’établir à 1 761 millions de dollars. L’incidence combinée de l’imputation de restructuration et de la dépréciation de l’écart d’acquisition de l’entreprise de négociation d’options sur actions en 2003 a été de 422 millions de dollars. Le reste de l’augmentation est attribuable aux coûts de rationalisation des activités principales des Services bancaires en gros, aux imputations liées aux radiations de systèmes, aux coûts de la réduction des placements immobiliers, à l’établissement d’une provision légale dans le portefeuille de prêts secondaires et aux charges de rémunération variable plus élevées qu’en 2002.

L’exercice 2003 s’est avéré très satisfaisant pour les Services bancaires en gros. Nous avons repositionné l’entreprise pour l’axer sur nos principales forces et sur notre stratégie consistant à produire des revenus constants à moindre risque, avons instauré des limites plus strictes en ce qui a trait aux risques de crédit et aux concentrations sectorielles et avons réduit notre portefeuille de prêts secondaires sans incidence négative additionnelle sur nos revenus.

Revue du rendement financier de 2002

La faiblesse des conditions du crédit et la tension dans l’environnement d’exploitation découlant des préoccupations accrues des investisseurs à l’égard des questions de gouvernance et des risques géopolitiques avaient influé de manière défavorable sur les résultats financiers de 2002. En 2002, les Services bancaires en gros avaient enregistré une perte nette de 657 millions de dollars par rapport à un revenu net de 926 millions de dollars pour l’exercice antérieur. Cette baisse était principalement attribuable à une hausse des provisions pour pertes sur créances, représentant une incidence après impôts et taxes d’environ 1 400 millions de dollars. Une chute marquée du volume de négociation, la détérioration des marchés boursiers, l’élargissement des écarts de taux ainsi que la faiblesse des activités des grandes entreprises avaient contribué à la diminution des revenus de 2002. Le total des revenus s’était établi à 2 668 millions de dollars, un recul de 495 millions de dollars, ou de 16 %, en regard des revenus de 3 163 millions de dollars de 2001. Les provisions pour pertes sur créances de 2002 avaient augmenté considérablement, s’inscrivant à 2 490 millions de dollars, soit un bond de 2 163 millions de dollars par rapport aux 327 millions de dollars de 2001. Cette hausse était principalement attribuable à une détérioration marquée du crédit dans les secteurs des télécommunications et des services publics, à nos activités liées aux entreprises victimes de malversations ainsi qu’aux retombées de l’instabilité politique en Argentine. Au cours de l’exercice, nous avions constitué des provisions sectorielles relatives au portefeuille de prêts secondaires d’un montant de 1 450 millions de dollars. À la fin de 2002, nous avions prélevé 185 millions de dollars sur la provision globale sectorielle pour constituer des provisions globales spécifiques. Les frais selon la comptabilité de caisse de 2002 avaient totalisé 1 235 millions de dollars, reculant de 138 millions de dollars par rapport aux frais de 1 373 millions de dollars enregistrés pour 2001. Le recul des frais s’expliquait par la baisse de la rémunération variable. Cette baisse avait toutefois été contrebalancée par des investissements additionnels dans la technologie et la gestion des risques.

 

Total des revenus

 

Total du revenu net (de la perte nette) selon la comptabilité de caisse

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