Gestion de patrimoine TD : Vos priorités, notre expertise
 

Leçons retenues par des conseillers et planificateurs financiers, Gestion de patrimoine TD

 

L’expérience est la source de toute sagesse et, parfois, nous devons l’apprendre à nos dépens, même en ce qui concerne nos finances personnelles. Cependant, nous aurions pu apprendre certaines leçons plus tôt, si seulement nous avions pris le temps de consulter un expert.

D’après un sondage sur la finance comportementale réalisé par Gestion de patrimoine TD1, plusieurs des milléniaux sondés, dont certains gagnant plus de 100 000 $ par année, choisissent de s’occuper eux-mêmes de leur plan financier. Le sondage indique que ceux qui font partie des 18 à 34 ans ont 3 fois moins de chances d’avoir un plan financier auprès d’un conseiller que ceux qui ont 55 ans et plus. À l’heure actuelle, seulement 15 % d’entre eux ont un plan financier auprès d’un conseiller.

De plus, selon le sondage de Gestion de patrimoine TD, les sondés de ce groupe d’âge étaient moins susceptibles d’obtenir un score élevé en conscience financière (35 %) et plus susceptibles d’être hautement réactifs à l’égard de leur argent (43 %) que les sondés plus âgés. Cela signifie qu’ils peuvent prendre des décisions non éclairées quand les marchés sont volatils. Raison de plus pour que les milléniaux ressentent peut-être l’utilité de faire appel à un copilote, comme un conseiller, pour les aider à apprendre à faire des placements et à garder le cap sur leurs objectifs en se sentant de plus en plus en confiance.

Nous avons demandé à 12 conseillers et conseillères de Gestion de patrimoine TD, tous de moins de 40 ans, de partager les leçons sur l’argent apprises à leurs dépens et de nous dire pourquoi le recours à un professionnel de la finance aurait pu les aider à économiser du temps et de l’argent.


Leçon à retenir : « S’occuper ensemble de l’argent » – Keleena Mariasine, conseillère en gestion de patrimoine, Halifax (Nouvelle-Écosse)

« Les contraires s’attirent. Mon mari et moi avons des approches complètement différentes à l’égard de la gestion de l’argent. Durant mon enfance, ma famille faisait très attention au peu d’argent dont elle disposait, tandis que la famille de mon mari n’a pas connu les mêmes difficultés financières. Je dépensais peu alors que lui était plus désinvolte, ce qui était parfois frustrant pour nous deux. Quand nous avons acheté notre première maison, j’en avais assez d’être la personne qui s’occupait de l’argent dans notre couple. Nous avons donc décidé que ce serait à lui de s’occuper de toutes les factures. Il découvrait soudainement où allait notre argent et à quel rythme il sortait. Mon mari a commencé à apprécier ma tendance à économiser quand c’est possible. En le mettant dans le coup, nous avons réussi à diminuer notre frustration. Désormais en tant que conseillère, j’essaie de faire participer les deux conjoints à nos discussions sur leurs objectifs financiers et de les aider à comprendre leurs angles morts mutuels. »


Leçon à retenir : « Votre maison est un investissement » – Julie Fitzpatrick, conseillère, comptable professionnelle agréée, St. John (Nouveau-Brunswick)

« L’achat d’une propriété constituait un de mes objectifs les plus importants. J’ai commencé à économiser à 19 ans et j’ai travaillé dans le cadre d’un programme coopératif pendant mes études universitaires pour continuer d’épargner. Quand j’ai finalement été en mesure d’économiser suffisamment pour verser une mise de fonds, j’ai trouvé un vieil immeuble dont un logement avait été rénové, mais l’emplacement n’était pas idéal. J’étais tellement déterminée à acheter un logement et à entrer dans le marché rapidement, que je n’ai probablement pas pris la meilleure décision de placement. Quand est venu le temps de vendre, je n’ai réalisé aucun profit. Si j’avais épargné plus au départ, j’aurais pu me permettre un logement qui aurait constitué un meilleur placement. Un conseiller aurait pu m’aider à voir plus loin que l’enthousiasme de l’achat. »


Leçon à retenir : « Votre maison est aussi un foyer » – Jenny Cho, planificatrice financière, Toronto (Ontario)

« Notre première maison était bien située dans la ville, à proximité de notre lieu de travail. Au fil du temps, mon mari et moi avons réalisé que nous voulions une plus grande maison. Nous avons alors décidé de déménager en banlieue pour avoir une maison plus spacieuse et à moindre coût. Sur le plan financier, notre décision était sensée, mais du point de vue de la qualité de vie, vivre dans une maison plus grande et plus éloignée du travail augmentait notre stress. Nous n’avons pas assez réfléchi aux changements que cette décision apportait à notre style de vie et avons misé davantage sur l’occasion de placement possible. Même si c’était une bonne décision financière, les déplacements au quotidien pour le travail durant l’hiver sont très pénibles! »


Leçon à retenir : « Ne gaspillez pas cette augmentation » – Jessica Belanger, planificatrice financière, Montréal (Québec)

« La première fois que j’ai eu une augmentation, j’ai presque tout dépensé en faisant un voyage à Cuba avec mon amie. Hormis quelques très beaux souvenirs, il ne m’en reste pas grand-chose financièrement. Quand vous recevez une augmentation de salaire, vous devriez peut-être en épargner une partie en vue de vos objectifs à long terme. Vous pouvez être tenté d’acheter un meilleur téléphone, de faire plus de sorties au restaurant ou d’acheter de plus beaux vêtements, mais c’est parfois une bonne idée de résister à l’envie de se gâter. J’essaie de sensibiliser mes clients à cela. »


Leçon à retenir : « Protégez votre avenir » – Amin Sandhu, planificatrice financière, Montréal (Québec)

« Quand j’étais plus jeune, mon père a eu un accident du travail. Il ne détenait aucune assurance invalidité et était le seul pourvoyeur. Ma mère a dû retourner travailler et même si mes parents disposaient d’un fonds d’urgence, j’ai été témoin du stress que cette situation leur a occasionné. Mettre de l’argent de côté en cas d’imprévu a été salutaire pour notre famille. À notre âge, nous pensons que nous n’avons pas besoin d’une assurance puisque nous sommes jeunes et en santé, mais c’est peut-être maintenant que nous pouvons le plus nous le permettre. »


Leçon à retenir : « Se brosser les dents peut inspirer une analogie avec l’argent » – Matthew Rodier, gestionnaire de portefeuille et conseiller en placement, Montréal (Québec)

« Dans un discours qu’elle a fait à l’occasion de notre mariage, ma femme a affirmé que “dans le monde, il y a ceux qui enroulent le tube de dentifrice et ceux qui l’écrasent”. Je suis de ceux qui enroulent le tube, alors que ma femme l’écrase. Je fais plus attention à presque tout, y compris à l’argent. Elle écrase le tube, en profitant de la vie sans trop se soucier de ce qui vient après. Mais au fil des années, nous nous sommes rendu compte qu’il devait y avoir un équilibre. Il faut parfois enrouler le tube, par exemple lorsqu’il est presque vide. À d’autres moments, c’est bien d’écraser le tube, surtout s’il renferme encore beaucoup de dentifrice. Nous mettons cette philosophie en application dans notre mariage et concernant notre argent. Pour nous, l’important est d’avoir un plan à long terme qui nous guide en cours de route, en nous permettant à tous les deux de nous brosser les dents. »


Leçon à retenir : « Minimaison, grand bonheur » – Fred Zhou, planificateur financier principal, Kamloops (Colombie-Britannique)

« Au début, ma femme et moi voulions réaliser notre rêve d’avoir une grande maison en ville en accordant la priorité à nos carrières. Mais peu après notre mariage, nous nous sommes rendu compte que nous travaillions de longues heures, que nous mangions tard à notre arrivée à la maison et que nous passions peu ou pas de temps ensemble. Nous avons donc décidé d’entreprendre une grande rénovation de notre style de vie. Nous avons loué notre maison et avons construit une minimaison à la ferme de mes beaux-parents. Sa superficie est d’à peine 420 pieds carrés. Ma femme a quitté son emploi de pharmacienne pour travailler à la ferme. Nous sommes beaucoup plus heureux et moins stressés, parce que nous n’avons plus le fardeau financier et matériel lié à une grande maison. Nous espérons avoir des enfants un jour, et peut-être devrons-nous alors changer de maison, mais nous espérons garder la même philosophie. J’essaie de rappeler à mes clients que les biens n’apportent pas toujours le bonheur. »


Leçon à retenir : « Les frais de retrait peuvent saboter votre épargne » – Trixie Mangunpratomo, planificatrice financière, North York (Ontario)

« Comme je suis venue de l’Indonésie pour fréquenter l’université au Canada, je n’étais pas bien préparée au fonctionnement du système bancaire. Je n’avais même jamais eu de carte de crédit. Quand j’ai fait une demande d’ouverture de compte bancaire, j’ai choisi le compte de base. Quand j’ai finalement parlé avec un conseiller, il m’a signalé que je payais 80 $ par mois en frais d’opération et de retrait. Si seulement j’avais épargné ces 80 $ dans un CELI ou un REER, ce placement aurait vraiment fructifié. » 


Gestion de patrimoine TD, Analyse de recherche sur la finance comportementale, 16 février 2018. 
https://www.td.com/content/dam/wealth/document/pdf/wealth/industry-report-a-behavioural-perspective-on-risk-fr.pdf


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